Puzzle - Se réveiller à 30 Ans
00
Copied!
18 bougies les poumons déjà trop pourris pour les souffler
Mes ambitions déjà essoufflées
Etudes délaissées au profit de la paresse
Les nuit d’ivresse dans la ville imagination stérile
Une mauvaise graine qui germe dans l’obscurité
Atteint maturité arrosé à la bière à 10 degrés
La bouche pâteuse j’me réveil dans mes habits
J’ai fait le tour du cadrant depuis hier après midi
J’me dirige vers la fenêtre et puis, j’observe les silhouettes
En gardant espoir comme un taulard qui attend une lettre
C’est la fête tous les jours même si y a rien à fêter
À part la tranquillité
Des 18 dernières années
A 18 ans j’croyais tout connaitre
Pouvoir renaitre des sales coup encaisser sans disparaitre
20 toujours la même histoire
25 j’suis toujours le même connard
Maintenant j’ai
26 printemps
Encore je prétends être ce que j’aimerais être
Oublier la vie de chaque jour
(toujours en déch j’ai que la teuf)
Un peu d’argent de poche rentré tard en semaine
Réveil brutal ma reum m’rappel qu’ici c’est pas l’hotel
La télé allumée dans le salon j’suis plein d’amertume
Toujours les vieux qu’empoche le million
J’met l’faux splif masque l’odeur, brule l’encens
Fais péter l’son à fond pendant que ma vieille repasse les caleçons
C’est malsain je l’sais c’est la flemme le stress parisien
Partisan de rien président d’un coin ou y’a rien
Personne qui te pousse au cul l’avenir qui te pisse au cul
Les années défile c’est moche de grandir comme ça
Mauvais climat plongé dans un coma
Grandir et murir, mourir dans l’anonymat
Vivre à 100 à l’heure , rêver de jour meilleur
Ce voir millionnaire, s’réveiller à 30 ans toujours chez sa mère
(X2)
Pas qu’m’affaler dans la crasse
Les traces de pisse sous les lampadaires,j’ai grandi là
Accouder à la rampe en pleine pente jusqu’à pas d’heure
J’regarde les gosse grandir, devenir des hommes
Partir et réussir, réussir à partir
C’est déjà ça sans rien en poche
Mais à mon âge la flemme s’incruste un jour on décroche
On approche de la trentaine on s’dit que c’est 30 ans de foutu en l’air
Et on s’fou en l’air parce que la vie c’est lourd quand on est dans le vent
Tout ça c’est loin ma mémoire me joue des tours
J’me rappelle que des tours et de ceux qui les entourent et jusqu’à l’aurore
J’aimerais rêver, demain me réveiller imberbe ;)
Mais demain j’aurais 30 piges et une grosse barbe
Mauvais climat plongé dans un coma
Grandir et murir, mourir dans l’anonymat
Les yeux délavés par la vie j’entends des bruit dans ma tête
Revois mon passé d’petite frappe c’est mes 30 ans qu’on fête
A la baraque mes amis sont là ma famille aussi
Le champagne me matraque j’prends l’air avant que mon esprit trinque
J’me dirige vers la fenêtre
En bas les même silhouette, les même hall, les même murs
L’impression qu’en dix ans… rien n’a changé
Tout reste figée, l’enfance passage obligé, ne souris plus naufrage assuré
Il reste bien une lueur d’espoir un phare dans la tourmente
Un frère qui sache et professe que toutes ces tours mentent
Un maudit manège survole les environs
Eternel assisté c’est c’que les gens diront
J’ai 30 ans comme si j’en avais 40
La trentaine en quarantaine vie pas marrante
Vieillard avant l’âge j’entends des rires
Dis-moi ce qui t’amuses dans cette vie de merde
Un taff de merde, la routine , une vie de merde
Alors j’ai claqué la porte
Plaqué ma meuf et mes potes
Mauvais climat plongé dans un coma
Grandir et murir, mourir dans l’anonymat
Vivre à 100 à l’heure , rêver de jour meilleur
Ce voir millionnaire, s’réveiller à 30 ans toujours chez sa mère
(X2)
Mes ambitions déjà essoufflées
Etudes délaissées au profit de la paresse
Les nuit d’ivresse dans la ville imagination stérile
Une mauvaise graine qui germe dans l’obscurité
Atteint maturité arrosé à la bière à 10 degrés
La bouche pâteuse j’me réveil dans mes habits
J’ai fait le tour du cadrant depuis hier après midi
J’me dirige vers la fenêtre et puis, j’observe les silhouettes
En gardant espoir comme un taulard qui attend une lettre
C’est la fête tous les jours même si y a rien à fêter
À part la tranquillité
Des 18 dernières années
A 18 ans j’croyais tout connaitre
Pouvoir renaitre des sales coup encaisser sans disparaitre
20 toujours la même histoire
25 j’suis toujours le même connard
Maintenant j’ai
26 printemps
Encore je prétends être ce que j’aimerais être
Oublier la vie de chaque jour
(toujours en déch j’ai que la teuf)
Un peu d’argent de poche rentré tard en semaine
Réveil brutal ma reum m’rappel qu’ici c’est pas l’hotel
La télé allumée dans le salon j’suis plein d’amertume
Toujours les vieux qu’empoche le million
J’met l’faux splif masque l’odeur, brule l’encens
Fais péter l’son à fond pendant que ma vieille repasse les caleçons
C’est malsain je l’sais c’est la flemme le stress parisien
Partisan de rien président d’un coin ou y’a rien
Personne qui te pousse au cul l’avenir qui te pisse au cul
Les années défile c’est moche de grandir comme ça
Mauvais climat plongé dans un coma
Grandir et murir, mourir dans l’anonymat
Vivre à 100 à l’heure , rêver de jour meilleur
Ce voir millionnaire, s’réveiller à 30 ans toujours chez sa mère
(X2)
Pas qu’m’affaler dans la crasse
Les traces de pisse sous les lampadaires,j’ai grandi là
Accouder à la rampe en pleine pente jusqu’à pas d’heure
J’regarde les gosse grandir, devenir des hommes
Partir et réussir, réussir à partir
C’est déjà ça sans rien en poche
Mais à mon âge la flemme s’incruste un jour on décroche
On approche de la trentaine on s’dit que c’est 30 ans de foutu en l’air
Et on s’fou en l’air parce que la vie c’est lourd quand on est dans le vent
Tout ça c’est loin ma mémoire me joue des tours
J’me rappelle que des tours et de ceux qui les entourent et jusqu’à l’aurore
J’aimerais rêver, demain me réveiller imberbe ;)
Mais demain j’aurais 30 piges et une grosse barbe
Mauvais climat plongé dans un coma
Grandir et murir, mourir dans l’anonymat
Les yeux délavés par la vie j’entends des bruit dans ma tête
Revois mon passé d’petite frappe c’est mes 30 ans qu’on fête
A la baraque mes amis sont là ma famille aussi
Le champagne me matraque j’prends l’air avant que mon esprit trinque
J’me dirige vers la fenêtre
En bas les même silhouette, les même hall, les même murs
L’impression qu’en dix ans… rien n’a changé
Tout reste figée, l’enfance passage obligé, ne souris plus naufrage assuré
Il reste bien une lueur d’espoir un phare dans la tourmente
Un frère qui sache et professe que toutes ces tours mentent
Un maudit manège survole les environs
Eternel assisté c’est c’que les gens diront
J’ai 30 ans comme si j’en avais 40
La trentaine en quarantaine vie pas marrante
Vieillard avant l’âge j’entends des rires
Dis-moi ce qui t’amuses dans cette vie de merde
Un taff de merde, la routine , une vie de merde
Alors j’ai claqué la porte
Plaqué ma meuf et mes potes
Mauvais climat plongé dans un coma
Grandir et murir, mourir dans l’anonymat
Vivre à 100 à l’heure , rêver de jour meilleur
Ce voir millionnaire, s’réveiller à 30 ans toujours chez sa mère
(X2)
